REFORMA VIVIENDA EL SAUZAL


La vivienda tipo duplex está enclavada en un conjunto de adosados de los años 80 en el Puntillo del Sol, El Sauzal, Tenerife. Se propone la reforma ya que las carencias energéticas y de usabilidad eran importantes para el bienestar del usuario.
El objetivo principal fue potenciar las increíbles vistas de la vivienda y darle la mayor amplitud al espacio disponible.
En planta alta el jardín de entrada, el interior de la vivienda y su terraza forman un solo espacio donde el pavimento da unión espacial y visual a las tres estancias y donde se difumina el interior y exterior.
En planta baja se busca un lugar más íntimo con materiales más cálidos como la madera y colores claros.

RENOVATION MAISON À TENERIFE, EL SAUZAL


La maison type duplex est située dans un ensemble de maisons de ville des années 80 à Puntillo del Sol, El Sauzal, Tenerife. La réforme a été proposée car les lacunes en matière d'énergie et de convivialité étaient importantes pour le bien-être de l'utilisateur. L'objectif principal était de mettre en valeur les vues incroyables de la maison et de donner la plus grande amplitude à l'espace disponible.
À l'étage supérieur, le jardin d'entrée, l'intérieur de la maison et sa terrasse forment un seul espace où le pavage donne une union spatiale et visuelle aux trois pièces et où l'intérieur et l'extérieur s'estompent.
Au rez-de-chaussée, on recherche un lieu plus intime avec des matériaux plus chaleureux comme le bois et des couleurs claires.






OMEGA FACTORY, SHIGERU BAN ARCHITECTS



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OMEGA FACTORY, SHIGERU BAN ARCHITECTS



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©Didier Boy de la Tour



PLAZA SAN FERNANDO Y MUSEO MARITIMO, LA PALMA


Equipo: Guillermo Gonzalez arquitecto, Marina Valero, Sergio Hernandez, Carlos Hernández

Museo del Mar

El proyecto se contextualiza en el lugar apareciendo como complemento del castillo..
Su insercion permite continuar viendo la totalidad de las casas de la calle San Fernando. Su silueta, desde la Avenida Maritima en vista de peaton se inserta en la falla o vacio que hay entre el castillo y las casas.
Su materialidad hace reminiscencia a las fortificaciones canarias y refuerza el caracter del castillo, ciertas piezas del museo pueden ser entendidas como una arqueologia de un proyecto que siempre estuvo alli.
Por otra parte, no se trata solamente de un caracter militar ya que el enfoscado blanco, que mira hacia el castillo genera el contraste necesario y potente tan identitario de las arquitecturas rurales y urbanas de La Palma y de otras islas Canarias.
Su tipología recupera el patio canario pero adaptandolo al lugar y al programa propuesto. El contacto con el mar y su proyección a lugares mas lejanos es esencial en su arraigo al lugar.
De un lado un patio canario, del otro un jameo, una volcanidad que se conecta y recupera el ambiente marino tan importante para Santa Cruz de La Palma.
Otra característica del posicionamiento del museo es que funciona como fachada a la plaza, como arquitectura que enfatiza la diagonal entre el barco y el castillo, enmarca el lugar.
A su vez, su patio funciona como nuevo acceso al mar o como traer el mar hacia una plaza.

Intervencion Urbana
El proyecto enfatiza el eje del barco y el Castillo del Cabo consiguiendo una vinculación fisica y visual entre ellos a través de un espacio abancalado y vegetalizado.
Las diferentes plataformas se van deslizando sobre el barranco a partir del barco y van hacia el castillo y hacia el mar potenciando su vinculacion.
En cada bancal o plataforma se plantea que el recorrido sea agradable ya que se va circulando rodeado de vegetación canaria. En cada espacio de bancal tambien se propone tener espacios mas estaticos en los que estar de una manera agradable y disfrutar de las vistas hacia el mar.
El abancalamiento permite tener una relacion mas directa con el mar ya que en cada momento el peaton se siente como en un pedestal, en un espacio privilegiado donde sentir la brisa marina y el cobijo de la alfombra vegetal.
El entramado del pavimento recupera la tradicion palmera de motivos geometricos. Teniendo como logica una trama o alfombra muy bien definida se crea la diversidad, fundamental para dotar a cada espacio urbano de su propia identidad.
La terraza o espacio mas amplio se situa entre el nuevo museo, el castillo y la calle San Fernando. Este bancal permite la organizacion de eventos a mayor escala y tiene como fundamento ofrecer un tapiz flexible miltiusos.
El deslizamiento de los bancales continua hacia el mar en forma de piscinas, de diferentes estratos de contencion del agua que permiten el disfrute del publico en un lugar tan identario.
Piscinas, museo, bares, biblioteca, exposiciones permanentes y temporales, vegetacion, sombra, geometria y materialidad hacen del lugar un espacio extraordinario y complejo que solo puede aparecer en este espacio de la isla y del mundo.

PLACE SAN FERNANDO ET MUSÉE MARITIME, LA PALMA


Équipe: Guillermo Gonzalez arquitecto, Marina Valero, Sergio Hernandez, Carlos Hernández

Musée de la mer

Le projet est contextualisé dans le site et apparaît comme un complément au château.
Son insertion permet de continuer à voir la totalité des maisons de la rue San Fernando. Sa silhouette, depuis l'Avenida Maritima en vue piétonne, s'insère dans la faille ou le vide entre le château et les maisons.
Sa matérialité rappelle les fortifications canariennes et renforce le caractère du château. Certaines pièces du musée peuvent être comprises comme l'archéologie d'un projet qui a toujours été là.
D'autre part, il ne s'agit pas seulement d'un caractère militaire, car l'enduit blanc, qui fait face au château, génère le nécessaire et puissant contraste si typique de l'architecture rurale et urbaine de La Palma et des autres îles Canaries.
Sa typologie reprend la cour canarienne mais en l'adaptant au lieu et au programme proposé. Le contact avec la mer et sa projection vers des lieux plus lointains est essentiel dans son enracinement au lieu.
D'un côté une cour canarienne, de l'autre un jameo, une zone volcanique qui relie et récupère l'environnement marin si important pour Santa Cruz de La Palma.
Une autre caractéristique du positionnement du musée est qu'il fonctionne comme une façade sur la place, comme une architecture qui souligne la diagonale entre le navire et le château, encadrant le lieu.
À son tour, sa cour fonctionne comme un nouvel accès à la mer ou comme un moyen d'amener la mer sur une place.

Intervention urbaine

Le projet met l'accent sur l'axe du navire et du château du Cap, en créant un lien physique et visuel entre eux grâce à un espace en terrasse et végétalisé.
Les différentes plateformes glissent sur le ravin depuis le bateau vers le château et la mer, renforçant ainsi leur lien.
Chaque terrasse ou plate-forme est conçue pour être agréable à parcourir, entourée de végétation canarienne. Dans chaque espace des terrasses, il est également proposé d'avoir des espaces plus statiques dans lesquels on peut se trouver de manière agréable et profiter des vues vers la mer.
Les terrasses permettent une relation plus directe avec la mer, les piétons ayant l'impression d'être sur un piédestal, dans un espace privilégié où ils peuvent sentir la brise marine et l'abri du tapis végétal.
Le pavage est basé sur la tradition des palmiers à motifs géométriques. La logique d'un tissage ou d'un tapis bien défini crée de la diversité, ce qui est essentiel pour donner à chaque espace urbain sa propre identité.
La terrasse ou le grand espace est situé entre le nouveau musée, le château et la Calle San Fernando. Cette terrasse permet l'organisation d'événements à plus grande échelle et repose sur l'idée de fournir une tapisserie flexible et polyvalente.
Le glissement des terrasses se poursuit vers la mer sous la forme de piscines, avec différentes couches de retenue d'eau qui permettent au public de profiter d'un lieu aussi idyllique.
Piscines, musée, bars, bibliothèque, expositions permanentes et temporaires, végétation, ombre, géométrie et matérialité font de ce lieu un espace extraordinaire et complexe qui ne peut apparaître que dans cette partie de l'île et du monde.




COMISARÍA DE GRANADILLA

EL LUGAR
El emplazamiento para la nueva ubicación de la Comisaría de la Policía Local de Granadilla se encuentra entre do tramás urbanas diferenciadas. A un lado el tejido más denso del casco histórico que comienza y al otro las edificaciones residenciales que va disgregándose hacia la periferia.
Como eje principal la carretera general articul el planeamiento urbano del municipio, desde la cumbre hasta la costa.
Sobre la parcela, resalta la presencia de la loma de la Montaña de Acojeja. Es de los pocos puntos desde la Avenida donde se puede ver de manera nitida el paisaje típico del paisaje de medianías de Granadilla de Abona, al que se suma el paisaje lejano y las vistas al mar. Desde la altura a la que se encuentra el solar, preservar la relación con el entorno es la principal premisa.
INSERCION URBANA
El volumen al orientarse perpendicular al viario consigue enmarcar la loma de la Montaña de Acojeja y a la vez permite tener la fachada más larga hacia el sur, lo que hace que la mayoría de estáncias aprovechen su luz controlada.
Así pues, la loma se evidencia con la intervención. El respeto por la vegetación local y la implementación de especies que se han perdido (como sabinas o almácigos) por el deterioro del lugar, se recuperan. Desde la calzada se aprecia revitalizada la loma y cobra importancia en el trazado urbano al situarse
en el zócalo del proyecto. Los límites entre lo urbano y lo vegetal se difuminan para una mejor integración. Lo urbano potencia la naturaleza del lugar.


POTENCIAR LAS VISTAS Y EFICIENCIA
ENERGÉTICA DE LA UBICACIÓN SUR/NORTE. SIMPLICIDAD ESTRUCTURAL
Otra de las premisas del proyecto era generar una estructura muy sencilla que permita la rapidez y facilidad de la ejecución de la obra. La trama es continua desde el sótano hasta las plantas superiores, como norma los pilares van cada 7.50m y en algunos casos se adapta a la trama en múltiplos de 1.50m.
DIÁLOGO CON EL PARQUE
El acceso y la recepción están posicionados en relación a las escaleras del Parque. La recepción es transparente de tal manera que al ir bajando las escaleras de parque se puede ver a través del edificio el mar y Montaña Gorda.
ZÓCALO VEGETAL
El proyecto plantea la continuidad de la lomade su vegetación pero de manera controlada y reintroduciendo especies que están en peligro como e Acebuche, el Almácigo o la Sabina, que en tiempos precedentes era muy abundante en la Montaña de Acoceja. El zócal vegetal está delimitado para impedir la entrada de terceros.
Se prevé igualmente en la parte más al este de zócalo los espesores necesarios para alberga puntualmente este tipo de vegetación. Cuando el zócalo se va acercando a la parte oeste la vegetación va desapareciendo hasta permitir el tránsito de personas de manera vigilada.




PABELLÓN DEPORTIVO EN COLLADO VILLALBA, MADRID


Equipo: Guillermo Gonzalez y Francisco Naranjo

Para comenzar el desarrollo del proyecto y atender a las necesidades espaciales propuestas, después de un análisis en profundidad del funcionamiento actual del edificio, se decide realizar como primera operación la demolición de aquellos elementos que limitan las posibilidades espaciales del nuevo proyecto; los volúmenes norte y sur, las fachadas este y oeste, así como las gradas y el frente de pilares norte de la estructura portante de la cubierta principal.

El nuevo pabellón se desarrolla partiendo de dos premisas claras: convertir el edificio en un estadio abierto al pueblo y a sus habitantes y lograr el máximo espacio y aforo posible, donde el deporte articule completamente todas las relaciones del proyecto. Se trazan unas claras directrices de relación este-oeste, norte-sur y diagonal hacia la pista de atletismo municipal, que articularán el conjunto del proyecto.

El proyecto logra la continuidad espacial mediante el escalonamiento de espacios de deporte, establece relaciones visuales cruzadas y continuas entre distintos espacios con un ambiente deportivo común.

El edificio tiene una voluntad directa de relacionarse y mirar, como si de un pedestal se tratara, hacia las instalaciones deportivas existentes. En el cruce entre la Calle Feria y la Calle Peñalara se da vida a esta relación gracias a una gran escalinata-balcón que se asoma para mirar. La posición elevada de la nueva cancha anexa establece una conexión directa entre los espacios deportivos a nivel urbano.

Mediante la aparición de los 5 volúmenes escalonados en las fachadas oeste y sur, el proyecto se adapta a las condiciones del entorno y a la escala humana a la vez que se busca maximizar el espacio público a través de las diferentes alturas y permitir diferentes usos simultáneos al aire libre en las terrazas, el nuevo espacio público deportivo del edificio.

Además, estos volúmenes escalonados junto la vegetación exterior filtran la luz del sur y del oeste. Al este el cerramiento proporciona control térmico y climático. Al norte, la instalación se abre completamente para recibir luz indirecta y ver la ciudad deportiva. Los elementos sólidos del proyecto están colocados estratégicamente para ser filtro y buscar el mayor control climático posible, así como la mayor eficiencia energética.

CENTRE SPORTIF À COLLADO VILLALBA, MADRID


Équipe: Guillermo Gonzalez y Francisco Naranjo

Pour commencer le développement du projet et répondre aux besoins spatiaux proposés, après une analyse approfondie du fonctionnement actuel du bâtiment, il a été décidé de démolir en première opération les éléments qui limitent les possibilités spatiales du nouveau projet : les volumes nord et sud, les façades est et ouest, ainsi que les tribunes et la façade du pilier nord de la structure porteuse du toit principal.

Le nouveau pavillon est développé sur la base de deux prémisses claires : transformer le bâtiment en un stade ouvert sur la ville et ses habitants et obtenir le maximum d'espace et de places assises, où le sport articule complètement toutes les relations du projet. Des lignes directrices claires est-ouest, nord-sud et diagonales sont tracées vers la piste d'athlétisme municipale, qui articulera le projet dans son ensemble.

Le projet réalise une continuité spatiale à travers l'échelonnement des espaces sportifs, établissant des relations visuelles croisées et continues entre les différents espaces avec un environnement sportif commun.

Le bâtiment a un désir direct de se rapporter et de regarder, comme s'il était un piédestal, vers les installations sportives existantes. À l'intersection de la Calle Feria et de la Calle Peñalara, cette relation est mise en valeur par un grand balcon-escalier qui la surplombe. La position surélevée du nouveau court annexe établit une connexion directe entre les espaces sportifs au niveau urbain.

Par l'apparition des 5 volumes décalés sur les façades ouest et sud, le projet s'adapte aux conditions environnantes et à l'échelle humaine tout en cherchant à maximiser l'espace public par les différentes hauteurs et en permettant différents usages extérieurs simultanés sur les terrasses, le nouvel espace sportif public du bâtiment.

En outre, ces volumes échelonnés, ainsi que la végétation extérieure, filtrent la lumière provenant du sud et de l'ouest. À l'est, l'enceinte assure le contrôle thermique et climatique. Au nord, l'installation s'ouvre complètement pour recevoir une lumière indirecte et des vues sur la ville sportive. Les éléments solides du projet sont placés stratégiquement pour être filtrés et pour rechercher le meilleur contrôle climatique possible ainsi que l'efficacité énergétique.





SHANGHAI HUAI HAI, ATELIERS JEAN NOUVEL


Guillermo Gonzalez colabora de 2014 a 2015 como arquitecto en la redacción del proyecto básico y de ejecución del edificio de oficinas y comercios en Shanghai.

En el año 2018 se le nombra Jefe de Proyectos para la redacción del Proyecto de Ejecución del Interiorismo, siendo el encargado en presentar el proyecto en Shanghai al cliente y a los diferentes equipos de Ingenieros y arquitectos locales. Ejerce de coordinador de todos los equipos y de interlocutor con el cliente para dicho desarrollo del Interiorismo (Lobbies, baños y espacios comunes del edificio).

SHANGHAI HUAI HAI, ATELIERS JEAN NOUVEL


Guillermo Gonzalez collabore de 2014 à 2015 en tant qu'architecte à la rédaction du projet de base et à l'exécution de l'immeuble de bureaux et des magasins à Shanghai.

En 2018, il a été nommé chef de projet pour la rédaction du projet d'exécution du design intérieur, étant chargé de présenter le projet à Shanghai au client et aux différentes équipes d'ingénieurs et d'architectes locaux. Il est le coordinateur de toutes les équipes et l'interlocuteur du client pour l'élaboration de l'aménagement intérieur (halls, salles de bains et parties communes du bâtiment).










GUILLERMO GONZALEZ